Telle une proue de navire, la Tunisie fend la Méditerranée à l´extrémité nord de l´Afrique. Festonnée de plages au bord desquelles se sont établies des agglomérations dédiées aux vacances, les côtes tunisiennes offrent un cadre sympathique et varié pour se détendre, faire la fête entre amis ou se dépayser. Forte de ses 1 300 km de côtes, dont 600 de plages, la Tunisie offre un cadre de choix pour des séjours balnéaires. Rien d´étonnant à ce que les hôtels aient fleuri sur son littoral, transformant les anciens villages de pêcheurs en stations à la mode ou créant de vastes complexes de loisirs là où il n´y avait que du sable à perte de vue. De Djerba à Tabarka, le paysage côtier s´est modelé en fonction de l´afflux croissant de touristes. Actuellement, ce sont plus de 7 millions de vacanciers qui se rendent chaque année en Tunisie, soit l´équivalent de la moitié de la population du pays. Très varié, l´hébergement va de la simple résidence hôtelière au luxueux établissement cinq étoiles, en passant par les clubs et les appartements en time-share. Ce qui permet à chacun de trouver une adresse correspondant à ses desiderata, que l´on soit amateur de sports nautiques, de remise en forme ou de farniente sur la plage. En fonction de son histoire et de son développement, chaque station balnéaire offre un visage spécifique. A Djerba par exemple, les hôtels s´efforcent de reproduire l´architecture des villages de l´île en privilégiant des structures peu élevées aux formes arrondies. Ce sont les fameux menzels qui, encore il y a peu, constituaient les seuls bâtiments djerbiens. Ces maisons carrées aux toitures voûtées ou en coupole affichent des murs à la blancheur éclatante. Traditionnellement, la seule ouverture de ces demeures est constituée par la porte, mais on trouve aussi quelquefois d´étroites fenêtres protégées par des grilles. Bien sûr, les hôtels ont adapté cette architecture un peu austère aux souhaits des vacanciers : larges baies vitrées, balcons ou terrasses donnant le plus souvent sur des îlots de verdure. Et les établissements dits de première position se situent les pieds dans l´eau, au bord de plages soigneusement entretenues.
Quelquesdates importantes : - 1101 av.J.-C., fondation de la ville d’Utiquepar les Phéniciens av.J.-C : fondation de Carthage par la princesseDidon, de Tyr. Très vite, Carthage devient la rivale de Rome et la importante des cités maritimes du mondeméditerranéen. -264-241av. J.-C : première guerre punique que Flaubert, dans, décrira en partie. Carthage évacue la Sicile. -218-201av. J.-C : deuxième guerre punique sous la conduite qui franchit les Pyrénées avec50 000 hommes, 9000 et 37 éléphants. Il arrive aux portes de Rome ne parvient à s’en emparer faute de renforts. -149-146av. J.-C : troisième guerre punique. Carthage affaiblie trois années avant de se rendre.Scipion incendie puis fait la ville. Il mélange du sel à la terre pour larendre infertile. débute, pour plusieurs siècles, la domination romaine. -439-553de notre ère : des Vandalesvenus du Nord de l’Europe la conduite de Genséric s’installent enTunisie. -534-642 :Justinien, empereur de Byzance,devient maître de ». : l’arrivée des Arabes auMaghreb. Ils viennent de l’Est, des d’Arabie. -647 : la conquête d’Oqba ibn Nafi qui propage l’Islam,fonde et chasse. La une province d’un empire dont lacapitale est Damas puis Bagdad. -909-1159: les Fatimides fondentMahdia et envahissent l’Égypte ils créent le Caire. Des rebelles serendent maîtres de la Tunisie attaquée par les Génois, les Pisans, puisles Normands de. -1534-1535: Barberousse entre à Bizerte. Àl’appel du pape, Quint envoie une flotte de 400 bateaux pour fairetomber qui se rend le 14 juillet 1535. -1590-1880: la Tunisie devient pour troissiècles une province ottomane. -1881-1956: protectorat français. -13 mai1943 : la capitulation desforces germano-italiennes dans la région du Cap Bon. -20 mars1956 : indépendance totale. -25juillet 1957 : proclamation dela république et présidence d’Habib Bourguiba.
Sejour en tunisie
Telle une proue de navire, la Tunisie fend la Méditerranée à l´extrémité nord de l´Afrique. Festonnée de plages au bord desquelles se sont établies des agglomérations dédiées aux vacances, les côtes tunisiennes offrent un cadre sympathique et varié pour se détendre, faire la fête entre amis ou se dépayser. Forte de ses 1 300 km de côtes, dont 600 de plages, la Tunisie offre un cadre de choix pour des séjours balnéaires. Rien d´étonnant à ce que les hôtels aient fleuri sur son littoral, transformant les anciens villages de pêcheurs en stations à la mode ou créant de vastes complexes de loisirs là où il n´y avait que du sable à perte de vue. De Djerba à Tabarka, le paysage côtier s´est modelé en fonction de l´afflux croissant de touristes. Actuellement, ce sont plus de 7 millions de vacanciers qui se rendent chaque année en Tunisie, soit l´équivalent de la moitié de la population du pays. Très varié, l´hébergement va de la simple résidence hôtelière au luxueux établissement cinq étoiles, en passant par les clubs et les appartements en time-share. Ce qui permet à chacun de trouver une adresse correspondant à ses desiderata, que l´on soit amateur de sports nautiques, de remise en forme ou de farniente sur la plage. En fonction de son histoire et de son développement, chaque station balnéaire offre un visage spécifique. A Djerba par exemple, les hôtels s´efforcent de reproduire l´architecture des villages de l´île en privilégiant des structures peu élevées aux formes arrondies. Ce sont les fameux menzels qui, encore il y a peu, constituaient les seuls bâtiments djerbiens. Ces maisons carrées aux toitures voûtées ou en coupole affichent des murs à la blancheur éclatante. Traditionnellement, la seule ouverture de ces demeures est constituée par la porte, mais on trouve aussi quelquefois d´étroites fenêtres protégées par des grilles. Bien sûr, les hôtels ont adapté cette architecture un peu austère aux souhaits des vacanciers : larges baies vitrées, balcons ou terrasses donnant le plus souvent sur des îlots de verdure. Et les établissements dits de première position se situent les pieds dans l´eau, au bord de plages soigneusement entretenues.
Le désert de la Tunisie un lieu de magique
Aux portes du désert, la Tunisie méridionale s’enrobe de terres ocre et de sables dorés d’où jaillissent des villages fortifiés accrochés à flanc de montagne, magnifiques dans leur splendeur révolue. Au-delà de l’immensité désolée du chott el Jerid, le Sahara devient roi, laissant de temps à autre jaillir la vie dans quelques oasis particulièrement accueillantes. Un océan de dunes rose orangé court à perte de vue vers l’horizon où s’enfonce lentement un énorme soleil rougeoyant. Là-bas, dans l’ondulation des vagues sableuses aux ombres grandissantes, presque en ombre chinoise, la silhouette d’une caravane de dromadaires trahit la seule présence de vie dans cet univers minéral. Immobile, comme figé dans l’attente du crépuscule, le désert semble lentement happer le ciel. Dans la douceur de fin d’après-midi, le parfum des fleurs de l’oasis de Ksar Ghilane ose enfin s’envoler dans l’air soudain plus léger, sans crainte d’être étouffé en vol par la chaleur accablante du jour. Respectueux de l’instant, les hommes, silencieux et contemplatifs, semblent rendre hommage à ce soleil qui disparaît. Presque émus devant la pureté du spectacle qui s’offre à eux.
Tunis, capitale culturelle et méditerranéenne
Telle une proue de navire, la Tunisie fend la Méditerranée à l´extrémité nord de l´Afrique. Festonnée de plages au bord desquelles se sont établies des agglomérations dédiées aux vacances, les côtes tunisiennes offrent un cadre sympathique et varié pour se détendre, faire la fête entre amis ou se dépayser. Forte de ses 1 300 km de côtes, dont 600 de plages, la Tunisie offre un cadre de choix pour des séjours balnéaires. Rien d´étonnant à ce que les hôtels aient fleuri sur son littoral, transformant les anciens villages de pêcheurs en stations à la mode ou créant de vastes complexes de loisirs là où il n´y avait que du sable à perte de vue. De Djerba à Tabarka, le paysage côtier s´est modelé en fonction de l´afflux croissant de touristes. Actuellement, ce sont plus de 7 millions de vacanciers qui se rendent chaque année en Tunisie, soit l´équivalent de la moitié de la population du pays. Très varié, l´hébergement va de la simple résidence hôtelière au luxueux établissement cinq étoiles, en passant par les clubs et les appartements en time-share. Ce qui permet à chacun de trouver une adresse correspondant à ses desiderata, que l´on soit amateur de sports nautiques, de remise en forme ou de farniente sur la plage. En fonction de son histoire et de son développement, chaque station balnéaire offre un visage spécifique. A Djerba par exemple, les hôtels s´efforcent de reproduire l´architecture des villages de l´île en privilégiant des structures peu élevées aux formes arrondies. Ce sont les fameux menzels qui, encore il y a peu, constituaient les seuls bâtiments djerbiens. Ces maisons carrées aux toitures voûtées ou en coupole affichent des murs à la blancheur éclatante. Traditionnellement, la seule ouverture de ces demeures est constituée par la porte, mais on trouve aussi quelquefois d´étroites fenêtres protégées par des grilles. Bien sûr, les hôtels ont adapté cette architecture un peu austère aux souhaits des vacanciers : larges baies vitrées, balcons ou terrasses donnant le plus souvent sur des îlots de verdure. Et les établissements dits de première position se situent les pieds dans l´eau, au bord de plages soigneusement entretenues.
Tunis (تونس) est la ville la plus peuplée et la capitale de la Tunisie.
Tunis (تونس) est la ville la plus peuplée et la capitale de la Tunisie. Elle est aussi le chef-lieu du gouvernorat du même nom depuis sa création en 1956. Située au nord du pays, au fond du golfe de Tunis dont elle est séparée par le lac de Tunis, la cité s’étend sur la plaine côtière et les collines avoisinantes. Bourgade modeste placée dans l’ombre de Carthage, Kairouan puis Mahdia, elle est finalement désignée capitale le 20 septembre 1159 (5 ramadan 554 du calendrier musulman), sous l’impulsion des Almohades, puis confirmée dans son statut sous la dynastie des Hafsides en 1228 et à l’indépendance du pays le 20 mars 1956.
Bizerte ou Banzart (بنزرت) est une ville du nord de la Tunisie
Elle se trouve à une soixantaine de kilomètres au nord-ouest de Tunis, la capitale du pays, et à cinq kilomètres du cap Blanc, la pointe septentrionale de l'Afrique. La ville se situe à la pointe sud-est d'un isthme sur la rive nord du canal de Bizerte reliant la mer au lac de Bizerte. Elle est reliée au reste de son aire urbaine située sur la rive sud du canal, formé par la localité de Zarzouna et les villes de Menzel Jemil et Menzel Abderrahmane, par un pont mobile qui débouche directement sur la RN8 menant à Tunis. Outre la RN8, la ville de Bizerte est reliée à Tunis par l'autoroute A4, ce qui la met à 45 minutes environ de l'aéroport international de Tunis-Carthage. Elle est le chef-lieu d'un gouvernorat qui regroupe aussi les villes de Menzel Bourguiba à vingt kilomètres et Mateur, à 38 kilomètres à l'ouest de Bizerte sur l'axe menant à Tabarka et à la frontière tuniso-algérienne ; il en est de même des regroupements urbains autour d'Utique (32 kilomètres) et des villes de Ras Jebel (36 kilomètres) et El Alia (19 kilomètres) sur l'axe sud menant à Tunis.
Tabarka (طبرقة) est une ville côtière du nord-ouest de la Tunisie située à 175 kilomètres de Tunis
Tabarka (طبرقة) est une ville côtière du nord-ouest de la Tunisie située à 175 kilomètres de Tunis et à quelques kilomètres de la frontière algéro-tunisienne. Son nom est étymologiquement d'origine berbère et signifierait « pays des bruyères ». Rattachée au gouvernorat de Jendouba, elle constitue une municipalité comptant 15 634 habitants en 20041. Peuplée de descendants des tribus kroumirs, la ville est le centre d'attraction des populations villageoises du Djebel Khemir, petite chaîne montagneuse parsemée de chênes-lièges. Ses habitants sont aujourd'hui dénommés Tabarkois ou parfois Tabarquois. Ces termes sont en opposition avec celui de Tabarquins qui désigne les Génois présents jusqu'au xviiie siècle sur l'île de Tabarka (Tabarque). C'est une ville touristique connue pour les activités de plongée sous-marine (fonds marins poissonneux où la pêche au mérou et à la langouste est pratiquée) et le corail utilisé dans la bijouterie. On y vient aussi pour ses festivals dont le célèbre Tabarka Jazz Festival. La ville est surplombée d'un rocher sur lequel est construit un fort génois. Tabarka est desservie par un aéroport international situé à une quinzaine de kilomètres à l'est de la ville.
Jendouba (جندوبة), est une ville du nord-ouest de la Tunisie
Jendouba (جندوبة), nommée Souk El Arba jusqu'au 30 avril 19663, est une ville du nord-ouest de la Tunisie située à 154 kilomètres de Tunis et à 50 kilomètres de la frontière algéro-tunisienne. Elle se trouve dans la vallée de la Medjerda au centre d'une plaine fertile. Chef-lieu du gouvernorat qui porte son nom, elle constitue une municipalité de 43 997 habitants2.
Nabeul (نابل) est une ville du nord-est de la Tunisie située au sud de la péninsule du cap Bon
Nabeul (نابل) est une ville du nord-est de la Tunisie située au sud de la péninsule du cap Bon à une soixantaine de kilomètres au sud-est de Tunis. Chef-lieu du gouvernorat du même nom, elle constitue une municipalité comptant 56 387 habitants en 20042. En associant les villes voisines de Dar Chaâbane, Béni Khiar et El Maâmoura, elle forme une agglomération de 120 000 habitants. Avec Hammamet, elle forme une conurbation bipolaire de 185 000 habitants. Nabeul est l'une des plus importantes villes qui se succèdent le long de la côte du golfe d'Hammamet. Son environnement est constitué de vergers et de jardins. Grâce à sa plage de sable fin, sa mer limpide et son climat méditerranéen, la région est une destination appréciée des touristes européens.
Sousse(arabe : سوسة) est une ville portuaire de l'est de la Tunisie, située à 143 kilomètres au sud
Sousse (arabe : سوسة) est une ville portuaire de l'est de la Tunisie, située à 143 kilomètres au sud de Tunis, et ouverte sur le golfe d'Hammamet (mer Méditerranée). « Capitale » du Sahel tunisien — elle est parfois surnommée la « perle du Sahel » — et chef-lieu du gouvernorat du même nom, la population de sa municipalité atteint 173 047 habitants en 20041 alors que son agglomération avoisine les 400 000 habitants, ce qui fait d'elle la troisième agglomération du pays après Tunis et Sfax. La médina de Sousse est inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1988.
Monastir (arabe : المنستير) est une ville côtière du Sahel tunisien, au centre-ouest de la Tunisie
Monastir (arabe : المنستير) est une ville côtière du Sahel tunisien, au centre-ouest de la Tunisie, située sur une presqu'île au sud-est du golfe d'Hammamet, à une vingtaine de kilomètres à l'est de Sousse et à 162 kilomètres au sud de Tunis. En 2004, la population de la municipalité atteint 71 546 habitants1. La ville est le chef-lieu du gouvernorat du même nom depuis 19742.
Kairouan (القيروان), dont le nom signifie étymologiquement « campement », est une ville du centre
Kairouan (القيروان), dont le nom signifie étymologiquement « campement », est une ville du centre de la Tunisie et le chef-lieu du gouvernorat du même nom. Elle se situe à 150 kilomètres au sud-ouest de Tunis et cinquante kilomètres à l'ouest de Sousse. Peuplée de 117 903 habitants en 20042, elle est souvent considérée comme la quatrième ville sainte de l'islam3. Jusqu'au xie siècle, la ville a été un important centre islamique de l'Afrique du Nord musulmane, l'Ifriqiya. Avec sa médina et ses marchés organisés par corporations à la mode orientale, ses mosquées et autres édifices religieux, Kairouan est inscrite depuis 1988 sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. En 2009, elle est proclamée capitale de la culture islamique par l'Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture4. La ville est aussi réputée pour ses tapis de laine artisanaux et ses pâtisseries dont les makrouds.
Kasserine (القصرين) est une ville située au centre-ouest de la Tunisie
Kasserine compte parmi les rares villes anciennes qui doit sa célébrité au rôle stratégique, politique et économique qu'elle a joué dans l'Antiquité. Connue sous le nom de Cilium ou de Scilli sous l'Empire romain, la cité est édifiée vers l'an 80, sous le règne de l'empereur Vespasien, fondateur de la dynastie des Flaviens. Depuis, elle a su conserver en son sein quelques vestiges qui témoignent du développement et de la stabilité qu'elle a connu aux époques romaine puis byzantine. Les principaux sites historiques qui datent de ces périodes sont un forum, un arc de triomphe bâti en l'honneur de l'empereur romain Septime Sévère, un capitole, un théâtre, plusieurs maisons, une église paléochrétienne, un fort byzantin ainsi que deux mausolées, le mausolée des Flavii et le mausolée des Petronnii. Arc de triomphe de la Colonia Cillilana Mausolée des Flavii Le mausolée des Flavii est construit au milieu du iie siècle par Titus Flavius Secundus en l'honneur et à la mémoire de son père ; il témoigne aussi de sa pietas. Les Flavii sont la famille d'un vétéran établi à Cillium, une cité devenue prospère grâce à la culture viticole pratiquée dans les environs et à la création de canaux d'irrigation. Le mausolée est constitué de trois étages en un mélange de styles architecturaux punique, hellénistique et libyen. L'épigraphe est quant à elle d'une grande importance puisque y figure un long poème en vers latin et des prières grecques traitant de l'incertitude de la vie après la mort et des certitudes à propos de la fonction de ce bâtiment. La lecture de ces vers n'est pas aisée, d'où la difficulté de leur traduction : « La vie est bien courte et ses moments s'enfuient, nos jours arrachés passent comme une heure brève, nos corps mortels sont attirés au fond des terres élyséennes par Lachésis la malveillante acharnée à couper l'écheveau de nos vies, voici pourtant qu'a été inventée l'image, procédé séduisant ; grâce à elle, les êtres sont prolongés pour la suite du temps, car la mémoire, rendue moins éphémère, les recueille et garde en elle bien des souvenirs : les inscriptions sont faites pour que perdurent les années .
Mahdia (arabe : المهدية) est une ville côtière tunisienne
Mahdia (arabe : المهدية) est une ville côtière tunisienne située à environ 200 kilomètres au sud de la capitale Tunis. Chef-lieu du gouvernorat du même nom, elle constitue une municipalité comptant 45 977 habitants en 20041. Construite à l'origine sur une presqu'île de 1 400 mètres de longueur sur 500 mètres de largeur, elle abrite l'un des premiers ports de pêche du pays. L'activité touristique pèse de plus en plus dans l'économie locale. La cité est un centre tertiaire qui a développé peu à peu un pôle d'enseignement supérieur, notamment avec l'établissement de l'Institut d'économie et de gestion en 1999. Si le centre historique se situe sur la presqu'île, la ville s'est étendue vers l'intérieur des terres avec les quartiers d'Hiboun et de Zouila notamment.
Sfax (صفاقس), deuxième ville et centre économique de Tunisie, est une ville portuaire de l'est
Sfax (صفاقس), deuxième ville et centre économique de Tunisie, est une ville portuaire de l'est du pays située à environ 270 kilomètres de Tunis. Riche de ses industries et de son port, la ville joue un rôle économique de premier plan avec l'exportation de l'huile d'olive et du poisson frais ou congelé. Sfax est une cité d'affaires et attire peu les touristes. Cela n'exclut pas la présence de certains sites intéressants, tels que la médina et Thyna, malgré la présence des usines de traitement du phosphate. Sfax compte 265 131 habitants en 20042 — pour une agglomération, le Grand Sfax, d'environ 500 000 habitants — et se présente comme une agglomération très étendue (sur 220 km2, soit autant que l'agglomération de Tunis, qui compte quatre fois plus d'habitants), plate et comprise dans un tissu urbain structuré par des axes de communication en toile d'araignée. Elle est bordée à l'est par la mer Méditerranée et l'amorce du golfe de Gabès.
Tozeur (توزر) est une ville du Jérid tunisien et le chef-lieu du gouvernorat du même nom
Tozeur (توزر) est une ville du Jérid tunisien et le chef-lieu du gouvernorat du même nom. Elle compte 32 400 habitants selon le recensement de 20042. Située au nord-ouest du Chott el-Jérid, elle se trouve à 450 kilomètres au sud-ouest de Tunis. Il s'agit de l'une des oasis situées aux portes du désert du Sahara. Tozeur est une ville avec un passé religieux important et connue pour ses lettrés comme sa géographie contemporaine, parsemée de marabouts, en témoigne.
Djerba, parfois orthographiée Jerba (arabe : جربة), est une île de 514 km2
Djerba, parfois orthographiée Jerba (arabe : جربة), est une île de 514 km2 (25 kilomètres sur 20 et 150 kilomètres de côtes) située au sud-est du golfe de Gabès2 et barrant l’entrée du golfe de Boughrara, au sud-est de la Tunisie. C’est la plus grande île des côtes d’Afrique du Nord. Sa principale ville, Houmt Souk, rassemble à elle seule 44 555 des 139 517 Djerbiens1. Ulysse l’aurait traversée, les Carthaginois y fondèrent plusieurs comptoirs, les Romains y construisirent plusieurs villes et y développèrent l’agriculture et le commerce portuaire. Passée successivement sous domination vandale, byzantine puis arabe, Djerba est devenue depuis les années 1960 une destination touristique populaire. Elle demeure marquée à la fois par la persistance de l’un des derniers parlers berbères tunisiens, l’adhésion à l’ibadisme d’une partie de sa population musulmane et la présence d’une communauté juive dont la tradition fait remonter la venue à la destruction du Temple de Salomon. L’île est reliée au continent, au sud-ouest par un bac qui conduit d’Ajim à Jorf et au sud-est par une voie de sept kilomètres, dont la première construction remonterait à la fin du iiie siècle av. J.-C., entre la localité d’El Kantara et la péninsule de Zarzis.
Douz (دوز) est une ville du sud de la Tunisie connue comme la « porte du Sahara ». Durant l'Antiqui
Douz (دوز) est une ville du sud de la Tunisie connue comme la « porte du Sahara ». Durant l'Antiquité, c'était l'oasis la plus importante de la région. Rattachée administrativement au gouvernorat de Kébili, elle constitue en 20041 une municipalité de 27 060 habitants située à 488 kilomètres de Tunis. Ses habitants sont essentiellement des Mrazig qui seraient, selon la tradition, des immigrants arabes de la tribu de Banu Sulaym arrivés en Tunisie au xiiie siècleJusqu'à une période récente, elle était une escale importante pour les caravanes dans leurs voyages entre le Sahara et la Tunisie septentrionale. Elle est actuellement une destination de beaucoup de touristes venus visiter les dunes du Grand Erg Oriental..